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5 clés pour combattre le découragement et l’abandon 2/3

5 clés pour combattre le découragement et l’abandon 2/3

Comment lutter dans la pratique contre le découragement et l’abandon ?

En me référant à mon propre vécu pour avoir dirigé, codirigé plusieurs institutions, en plus d’être père de famille et leader évangélique, je propose en dernier lieu cinq stratégies efficaces. Je suis certain qu’elles sont capables de réellement aider à lutter contre ces démons.  Depuis plusieurs années, ces stratégies m’ont prouvé leur force dans diverses situations. C’est donc avec plaisir que je te les dévoile pour les expérimenter à ton tour.

1.D’abord, se concentrer

Cette stratégie consiste à réviser, évaluer le chemin parcouru. Là, tu peux te questionner :

  • Quels comportements, quelles habitudes et attitudes faut-il que je garde pour continuer à avancer ?
  •  Quels comportements, quelles habitudes et attitudes corriger par rapport à avant ?
  • Comment les changer ?
  • Quel est le prix à payer pour changer ces habitudes qui ne me font pas atteindre mon but ?
  • Qu’en-est-il de mon entourage social ?
  • Les gens de mon entourage social, m’ont-ils soutenu normalement et régulièrement… ?
  • Dois-je continuer à compter sur eux ou à avancer malgré tout ?
  • Comment affronter mes peurs contrairement à avant ?
  • Qui contacter pour m’aider à me reprendre…. ?

Ce parcours est fondamental pour t’aider à te concentrer sur l’essentiel. L’essentiel regroupe les habitudes, les attitudes, les stratégies, l’état d’esprit et l’entourage qui t’aident à poursuivre cette fois ton parcours sans arrêt jusqu’à l’atteinte de ton but.

Que faut-il retenir ici ?

Pour lutter contre le découragement et l’abandon, il faut prendre le temps d’étudier le chemin déjà parcouru. A ce stade, il faut se poser les bonnes questions et chercher à trouver les bonnes réponses pour ne pas répéter les mêmes erreurs.

Engagement.

Je m’engage à réviser constamment mes résultats période après période afin de prendre la meilleure décision pour ma vie. Ensuite, je renonce à me décourager. Je renonce aussi à abandonner. En définitive, il n’y aura jamais de succès pour celui qui se décourage ou qui abandonne.

 2. Ensuite, éduquer son subconscient

Par l’éducation, l’homme peut tout programmer, tout changer avec le temps. L’éducation permet d’installer des habitudes, des croyances, des convictions et des attitudes qui sont en harmonie avec son but spécifique.  Grâce à l’éducation, nous pouvons être orienté vers le succès ou l’échec. C’est pourquoi, nous devons prendre très au sérieux les actions de l’éducation qui nous concernent. Notre bonheur ou notre malheur en dépend sérieusement.

Eduquons nos émotions

Le monde est contrôlé par les émotions. C’est pourquoi, il est essentiel d’être persuasif, de connaître ses émotions ainsi que les émotions majeures des gens. Les émotions, les croyances et les pensées que nous transmettons par le biais de notre subconscient, sont bien plus puissants que nos mots. Elles ont un impact considérable sur les gens que nous côtoyons chaque jour. Dans ce contexte, il nous faut développer l’habitude de visualiser notre succès, nos nouveaux privilèges, notre nouvel état d’âme, notre nouvelle position, notre nouvelle renommée, notre nouvelle influence une fois que nous aurons atteint notre but.

Que faut-il retenir ici ?

Comme la voiture ne peut pas rouler sans l’essence ainsi, nous devons éduquer notre subconscient. Notre subconscient est exactement comme notre coeur. C’est lui qui distribue l’énergie dans tout notre être pour atteindre notre but. Ceci, projet après projet. Activité après activité. Pour y arriver, il est sage de lire des livres à propos. En outre, il est conseillé de regarder des vidéos appropriées ou de se chercher un coaching de qualité pour remédier à sa situation.

Engagement.

Je prends maintenant une ferme résolution pour ma vie. Je veux à tout prix éduquer mon subconscient. Par la lecture, les bonnes vidéos, le bon coaching, je m’engage à booster mon subconscient pour lutter foncièrement contre le découragement et l’abandon.

Les lecteurs de cet article aiment également lire : comment cultiver l’autodiscipline. Vérifie toi-même le secret qu’ils y trouvent en cliquant sur ce lien.

Comment cultiver l’autodiscipline pour étudier efficacement et réussir

3. Et, cultiver l’enthousiasme

Maintenant, après l’essence, il faut mettre le moteur de la voiture en marche. Même avec un réservoir plein, il y a risque que la voiture ne se déplace si le moteur n’est pas en marche. Par comparaison, l’enthousiasme est le moteur psychologique qui te permet de surmonter le découragement et l’abandon. En général, on reconnait la personne enthousiaste dans sa manière de parler, de s’habiller et de réagir en termes de communication avec son entourage. La personne enthousiaste met l’accent sur les solutions et non les problèmes. Elle garde le sourire et la maitrise de soi. On sent, de surcroît, qu’elle est bien dans sa peau. Elle transmet une énergie forte dans son discours. Bref, elle adopte un ton incitatif et convaincant.

Travaille chaque jour ton image personnelle et ta confiance en toi-même.

Pour en apprendre davantage, voici un article important qui en parle de manière claire et détaillée.

La confiance en soi, vertu indispensable au succès

L’enthousiasme, une denrée rare

L’enthousiasme est fondamental pour agir chaque jour selon son plan d’actions et respecter les échéances planifiées. En outre, elle empêche de procrastiner, de rester oisif et de retomber dans les anciennes manières d’agir. C’est par elle que nous commençons chaque nouvelle journée avec de nouveaux défis. Grâce à elle, nous maintenons notre bonne humeur devant les nouveaux obstacles rencontrés sur le chemin.

Que faut-il retenir ici ?

Pour lutter contre le découragement et l’abandon, je dois agir et me comporter avec enthousiasme chaque minute de ma vie. L’enthousiasme est comme une lampe. Quand elle est allumée, les ténèbres disparaissent immédiatement.

Engagement.

A Partir de maintenant, je m’engage à garder la lampe de mon enthousiasme toujours allumée. La raison est simple et bien fondée. Je veux vaincre par tous les moyens le découragement et l’abandon dans mon histoire personnelle.

5 clés pour combattre le découragement et l’abandon 2/3

5 clés pour surmonter le découragement et l’abandon

Si tu déjà commencé une activité personnelle, un projet de vie, un projet d’étude et que tu es sur le point d’abandonner, cet article est pour toi.

Si tu as commencé un mémoire, des exercices de sport, la lecture d’un bon livre sans pouvoir continuer, cet article est pour toi.

Et puis, si tu es sur le point de te décourager ou d’abandonner ton activité, ton ministère, ta start-up, cet article est pour toi.

Tu as longtemps le projet de lancer ton entreprise pour quitter ton emploi et cela reste uniquement au stade d’idée; fatigué, tu te décourage , cet article est pour toi.

Peut-être que tu es seul au foyer avec un enfant difficile, cet article est pour toi.

 Souvent tu rates des cours, des examens et tu décides d’abandonner l’école, cet article est pour toi.

Tu réalises depuis quelques années que ta vie marque des pas sur place au point de ne plus croire dans l’avenir, cet article est pour toi.

Je t’invite à le lire en entier, ce, avec grande attention afin d’en tirer le meilleur parti. J’espère que ce temps que tu passeras sur étude efficace te sera très bénéfique. Je souhaite que tu en gardes un souvenir inoubliable.

Le découragement, un fléau qui n’épargne personne

Nous avons tous vécu des moments de joie. Malheureusement, nous avons vécu également des moments de panique, de trouble et d’incertitude aussi. C’est une loi de la vie. Rien n’est statique. Tout bouge autour de nous et en nous. Ceci dit, dans ce cycle où tout va et revient, nous avons besoin d’une bonne compréhension des choses en vue de prendre la bonne décision au bon moment.

La première tentation qui nous visite devant le danger, l’inconnu, l’échec, la faiblesse, le désespoir etc est le découragement. Quand le découragement persiste, il développe en nous un sentiment de médiocrité ou d’infériorité qui nous porte à abandonner. Est-ce, en réalité la bonne décision quand nous abandonnons ? Si jamais nous avons cédé au découragement, y-a-t-il possibilité de recommencer et faire succès ?

Dans cet article, nous aborderons, les concepts de découragement et de l’abandon. Nous en soulignerons des causes et des conséquences. Nous terminerons par proposer des stratégies efficaces et pratiques pour lutter contre ces fléaux.

Commençons par nous demander d’où viennent le découragement et l’abandon ?

A cette question, chaque lecteur, chaque lectrice peut donner de bonnes réponses. Et pour y répondre, le concerné va, le plus souvent, se référer à ses expériences personnelles. En effet, nous avons, Presque tous, une expérience directe ou indirecte du découragement et/ou de l’abandon.

Il est clair que les causes ne seront pas identiques pour tout le monde. Cependant, en règle générale, les explications les plus fréquentes au découragement et à l’abandon sont en réalité:

  • La perte d’un être cher (parent, membre de sa famille), la perte d’une activité qui te permet d’entrer un peu d’argent…);
  • La santé débile comme c’était le cas pour notre fameux poète Etzer Vilaire ;
  • Un accident grave qui nous laisse avec une mobilité réduite ;
  • Une déception ou des attentes non comblées par rapport à l’organisation de son activité. Cela peut découler aussi d’un leadership inefficace au niveau d’une institution ou d’une formation : l’horaire de travail, le manque de compétence des dirigeants, l’absence de performance du personnel… ;
  • La trahison d’un proche ;
  • L’égoïsme du système politique en application dans son pays: aucun espoir pour les jeunes sérieux, honnêtes et intègres…;
  • Le niveau galopant ou indescriptible de la corruption : une société à l’envers où l’insécurité bat son plein en plus du fait que la militance remplace la compétence ;

Alors, par principe, il n’a jamais existé de causes sans conséquences. Dans cette perspective, réfléchissons un peu sur les effets du découragement et de l’abandon.

Quelles peuvent être les conséquences principales du découragement et de l’abandon ?

En pratique, la réalité des hommes et des femmes ayant l’âge, la culture et l’expérience différents, montre que le découragement et l’abandon engendrent souvent :

  • La perte d’énergie intérieure indispensable pour avancer dans la direction de son rêve. La personne découragée est désarmée, déboussolée, déchargée ;
  • L’abandon et le cumul d’échecs. Ayant la batterie psychologique à plat, la personne découragée n’est plus capable de concentration et d’actions coordonnées ;
  • La perte de l’image de soi. Cela conduit l’individu à perdre le sens de toutes ses actions et à se replier sur lui-même ;
  • Les maladies psychosomatiques : stress, maux de tête répétés, crampes à l’estomac etc.

De toute façon, nous venons de constater que les conséquences du découragement et de l’abandon sont très désastreuses. C’est pourquoi, il faut apprendre par tous les moyens à lutter contre ces géants pour ne pas devoir laisser sa peau.

Plan de communication :  Attention! Ne vous emballez surtout pas!

Plan de communication : Attention! Ne vous emballez surtout pas!

Ce post nous est inspiré par une publication de @Christine Mboka sur LinkedIn.

Le piège quand on commence, c’est de faire un plan trop ambitieux, qui ne tient pas compte des délais de livraison de chaque tâche pour les ressources humaines disponibles. Beaucoup de chargés de communication se sont retrouvés pris au piège, car leur hiérarchie les attendait sur les résultats ( irréalistes au final) qu’ils avaient promis ou prédits. Souvent c’est sur la base de ces promesses ou prédictions que leur évaluation est basée, et du coup ils se retrouvent dévalués, dévalorisés et déconcentrés, malgré le travail énorme qu’ils ont eu à accomplir… Alors attention à garder votre enthousiasme en laisse lorsque vous montez votre plan de communication.

Comment Florence a introduit une politique de formation dans son entreprise.

Comment Florence a introduit une politique de formation dans son entreprise.

Florence ne peut pas s’en empêcher ! Elle n’arrête pas de sourire ! Dans le taxi qui la ramène chez elle, le chauffeur la dévisage avec suspicion. Qu’importe ? Elle est aux anges… Et pour cause, elle vient d’être embauchée au poste de ses rêves ! Assistante des Ressources Humaines en charge de la formation et de la gestion des carrières.
Au Cameroun, il y a encore si peu d’entreprises qui comprennent la valeur ajoutée de la gestion des carrières qu’elle désespérait de trouver un poste dans cette spécialité. Pour autant, elle a envoyé avec sa candidature le résumé de son mémoire de fin d’études qu’elle a mené sur le sujet. Elle y expliquait l’impact de la formation continue sur la productivité et la cohésion des équipes, et bien sûr le retour sur investissement d’une telle politique. En substance, son enquête corroborait les dires de Quidam dans sa théorie de cerveau collectif.
Visiblement, son document a été lu et apprécié, non seulement par le Directeur des Ressources Humaines mais aussi par le Directeur Général de l’entreprise ! Et pendant tout son entretien, il a fallu qu’elle expose le contenu de son mémoire et qu’elle prouve qu’elle serait capable de mener cette politique à bien. A la fin, le Directeur Général s’est tourné vers elle d’un ton menaçant : « Eh bien, nous vous accordons un CDD d’un an pour valider votre théorie. Si les résultats sont probants vous obtiendrez un CDI et une augmentation. Mais attention, vous n’aurez qu’une chance. J’espère que le cerveau collectif que vous allez nous créer permettra de rentabiliser votre salaire. »
Acette pensée, le sourire de Florence disparaît pour céder la place à une peur panique ! Le Directeur a-t-il prévu un budget formation permettant d’obtenir de bons résultats ? Les managers laisseront-ils à leurs équipes le temps nécessaire à la formation ? A quelles résistances au changement va-t-elle devoir se confronter ? Mais pourquoi penser à tout cela maintenant ? le tout, c’est de garder le sourire et de trouver le bon prestataire pour l’aider à démêler tout ça…
D’ailleurs elle connait déjà d’excellentes propositions, puisqu’elle-même a suivi des cours… Chez Boost Formations !

Investir en soi-même.2

Marie se lève de bonne humeur ce matin. Elle prend tout de suite son téléphone pour suivre une des vidéos boost sur le blog de Boost Formations. Investir sur soi-même. Elle veut creuser l’idée. Cette fois, c’est Zack Mekwassa, champion de boxe et web entrepreneur qui donne son avis sur la question. 

Et vous, où en-ētes vous avec votre parcours de formation ? Continuez-vous à avancer? Quelle est votre prochaine étape ?

Investir sur soi-même

Marie s’écroule sur son lit. Encore une journée épuisante, physiquement et mentalement. Elle se demande pourquoi elle a fini par accepter ce boulot qu’elle déteste. Ah, oui… Elle s’est sentie obligée… Pour agir de façon responsable, pour faire au moins quelque chose… pour avoir de quoi manger.

Mais franchement… Va-t-elle vraiment passer sa vie ainsi ? A enchaîner des boulots pourris après tant d’années passées à décrocher une licence qui finalement n’intéresse personne ? Non, c’est hors de question. « Il faut que je fasse quelque chose, je le sais. Mais quoi ? » Investir, oui, mais pas au hasard. Il faut savoir dans quoi on se lance, il faut s’y préparer, et surtout il faut faire un choix. Lequel ?

Comme plusieurs témoins qui ont brillamment réussi leurs vie, Luc Dumont apporte aujourd’hui une réponse à Marie : Le premier investissement à faire, celui qui change toute la donne : Se former… encore et encore ! Je vous imagine bien rouler des yeux en lisant une « ineptie » pareille… Parce qu’elle ne s’est peut -être pas assez formée, Marie, sur les bancs de sa fac ? Eh bien, elle a sûrement appris plein de choses… Mais elle ne s’est pas formée à l’essentiel.

Marie ne s’est pas encore formée à réussir. Et maintenant il lui faut apprendre à croire en elle, à déceler une opportunité, à la saisir et à y déployer toute son énergie pour être sûre de réussir. 5 minutes après avoir vu cette vidéo, une autre question taraude Marie: Que lui faut-il apprendre encore ? Quelle compétence fera la différence ? Marie est rassurée. Elle sait que se poser la question, c’est déjà faire un pas dans la bonne direction.

Et vous, où en-ētes vous avec votre parcours de formation ? Continuez-vous à avancer? Quelle est votre prochaine étape ?

N’ayez pas peur de l’échec… Servez-vous en!

N’ayez pas peur de l’échec… Servez-vous en!

« Ne craignez pas de faire des erreurs. Si vous cherchez la perfection, vous n’oserez jamais. L’essentiel est de tirer des leçons de ses erreurs pour ne plus les reproduire. »

Beaucoup ne le réalisent pas, mais ils n’osent pas se former par peur de l’échec. Et pourtant…

Lorsque nous nous autorisons à faire des erreurs, nous pouvons voir que ce n’est pas la fin du monde lorsque nous échouons. Les erreurs sont des occasions d’apprendre, de grandir et de s’améliorer.

Une façon d’y parvenir est de s’adonner à un nouveau passe-temps dans lequel vous ne serez probablement pas bon du premier coup. Au lieu d’essayer d’être « parfait », essayez plutôt d’apprécier l’activité et d’apprendre lentement à vous améliorer.

Vous découvrirez peut-être que les erreurs sont nécessaires pour arriver là où vous voulez être.

N’oubliez pas que la personne qui vous met le plus de pression est vous-même. Soyez gentil avec vous-même et pratiquez l’acceptation de soi en abaissant les normes irréalistes que vous vous imposez.

Si vous êtes toujours motivé et que vous faites de votre mieux, vous vous en sortez très bien. La perfection n’existe pas, mais nous pouvons être fiers de faire de notre mieux.

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Plan de communication : Attention! Ne vous emballez surtout pas!

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